Êtreoptimiste n'est pas si difficile, dĂ©couvrez 4 astuces pour aider Ă  voir la vie du bon cĂŽtĂ© et le verre Ă  moitiĂ© plein! PENSÉEPOSITIVE : COMMENT FAIRE POUR DEVENIR POSITIF ET LE RESTER? DEVENIR POSITIF La puissance de la pensĂ©e positive « Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes rĂ©sulte de nos Resterpositif quand tout va mal reprĂ©sente un vĂ©ritable challenge. C'est un exercice du mental qui n'est pas toujours facile Ă  faire, parfois on a juste env LĂ  je suis franchement DEGOUTEE!!!!! Ma seule et unique rĂ©solution pour 2010 est de rester positive un maximum, quoi Vousavez l’impression que tout va mal autour de vous ? C’est normal, votre cerveau est programmĂ© depuis nos plus lointaines origines pour 7JLA93. Les pensĂ©es positives sont une maniĂšre d’utiliser l’esprit pour atteindre la fĂ©licitĂ©. Ce n’est pas qu’une action quotidienne, mais tout un style de vie. Afin de l’adopter, l’introspection et la rĂ©flexion sont essentielles. A savoir qu’il n’est pas question d’ignorer le nĂ©gatif et de ne voir que le positif, mais plutĂŽt de valoriser le positif d’avantage, tout en acceptant de maniĂšre plus sereine les obstacles qui se dressent sur votre route. En effet, le pouvoir de la pensĂ©e positive est plus puissant qu’on ne le croit. En se concentrant sur le positif, nous attirons les bonnes loi de l’attractionLes Ă©nergies sont contagieusesConseils pour avoir des pensĂ©es positives“On rĂ©colte ce que l’on sĂšme”. Cette maxime est une illustration parfaite pour symboliser la force des Ă©nergies qui nous entourent et ce qu’elles peuvent nous offrir lorsqu’elles sont positives. En effet, lorsque vous semez de la positivitĂ©, il est fort probable que vous rĂ©coltiez de la joie et du bonheur en retour. En revanche, si vous succombez aux idĂ©es noires, l’impact d’évĂ©nements nĂ©gatifs risque de se dĂ©cupler Ă  vos yeux. La pensĂ©e positive est donc tout un art de percevoir la loi de l’attractionIndĂ©pendamment de nombreux facteurs, nous sommes liĂ©s Ă  l’univers, ce qui fait de nous des ĂȘtres trĂšs sensibles aux ondes et Ă  l’énergie qui nous entoure. Pour illustrer cette synergie, il existe ce qu’on appelle la loi de l’attraction, un principe qui consiste Ă  croire au plus profond de soi que nos pensĂ©es contrĂŽlent les Ă©nergies que l’on attire. Autrement dit, c’est croire qu’en se concentrant sur les pensĂ©es positives, nous attirons de l’énergie positive, dans le cas contraire, c’est l’énergie nĂ©gative qui viendra Ă  nous. Cette thĂ©orie est fondĂ©e sur l’hypothĂšse suivante tout est Ă©nergie, et chaque Ă©nergie attire une Ă©nergie semblable. Par consĂ©quent, avoir des pensĂ©es positives attirera des Ă©vĂ©nements positifs dans notre vie et mĂšnera votre subconscient Ă  matĂ©rialiser vos pensĂ©es dans la Ă©nergies sont contagieusesEntourez-vous de personnes positives car les Ă©nergies sont contagieuses. Lorsque vous ĂȘtes exposĂ© Ă  la positivitĂ©, votre style de vie et vos pensĂ©es suivront inconsciemment le mĂȘme chemin. Dans le cas contraire oĂč votre environnement est essentiellement nĂ©gatif, votre Ă©nergie finira par ĂȘtre en baisse en se calquant sur les ondes nĂ©gatives libĂ©rĂ©es autour de vous. MĂȘme lorsque tout sera en votre faveur, vous n’aurez pas la bonne attitude pour accueillir les opportunitĂ©s qui se prĂ©sentent Ă  pour avoir des pensĂ©es positivesMaintenir uniquement des pensĂ©es positives peut s’avĂ©rer difficile lorsque tout va mal. Toutefois, sachez qu’il ne s’agit pas nĂ©cessairement de choisir le positif ou le nĂ©gatif, mais plutĂŽt de trouver un juste milieu, un Ă©quilibre qui favorisera votre paix intĂ©rieure. Pour y parvenir, voici quelques conseils qui transformeront votre Ă©nergie– Essayez de mieux comprendre le pouvoir de la pensĂ©e positive, car cela ne fonctionnera pas si vous n’en ĂȘtes pas profondĂ©ment convaincu – Ne vous laissez pas influencer par l’avis des autres, faites ce qui vous semble juste – Visez toujours le meilleur et utilisez votre imagination pour stimuler les situations positives – Utilisez des termes positifs dans vos discours, ceci vous poussera Ă  voir la vie de maniĂšre plus optimiste – Soyez souriant, la vie vous sourira en retour – Analysez vos pensĂ©es nĂ©gatives de maniĂšre rationnelle et remplacez-les par des pensĂ©es positives, aprĂšs tout ce n’est qu’une question de perspective – Accueillez les situations difficiles avec optimisme, vous ne savez pas ce qu’elles cachent et les leçons qu’elles vous permettront d’en tirer – Si vous ressentez de mauvaises Ă©nergies, rĂ©pĂ©tez des affirmations positives afin de vous convaincre que tout ira bien, ce sont vos pensĂ©es qui attirent l’énergie positive. Lire aussi Comment faire un nettoyage Ă©nergĂ©tique et spirituel de votre chambre pour vous prĂ©munir des Ă©nergies nĂ©gatives Couple Auteur Coup de Pouce Couple Quand rien ne va plus, faut-il partir ou rester? Quand rien ne va plus, faut-il partir ou rester? Le couple en questionReproches, dĂ©saccords, manque de tendresse, absence de complicitĂ©... AprĂšs huit ans de vie commune, le couple de Francine, 38 ans, n'en mĂšne pas large. Ce sont des dĂ©ceptions rĂ©ciproques qui ont peu Ă  peu minĂ© notre confiance et notre admiration mutuelle, raconte-t-elle. Nous avons voulu Ă©viter des sujets dĂ©licats pour ne pas crĂ©er de discorde, mais maintenant, chaque contact est risquĂ© et nous sommes toujours sur la dĂ©fensive.» Si elle se rappelle leurs dĂ©buts avec tendresse, aujourd'hui, envahie par la peine et la colĂšre, elle est hantĂ©e par ce lourd questionnement Dois-je partir ou rester?»Disons d'abord que, selon Sheryl Gaudet, travailleuse sociale et psychothĂ©rapeute conjugale et familiale, ce sont les femmes qui sont le plus susceptibles de vivre une dĂ©pression du couple» qui les mĂšnera Ă  une remise en question. Lorsqu'elle ne sent plus de complicitĂ©, de valorisation ou de soutien mutuel, la femme en vient souvent Ă  trouver la relation dĂ©primante, explique-t-elle. Elle exprime alors son insatisfaction Ă  son conjoint, qui trouve, pour sa part, que les choses vont bien dans l'ensemble. Mais ce climat fait en sorte que la libido de la femme diminue. L'homme se sent alors rejetĂ© et moins aimĂ©, sa rĂ©action amplifie les insatisfactions de la femme, et la boucle est bouclĂ©e...»La psychologue Élise Castonguay note certaines trames rĂ©currentes chez les clientes qui la consultent pour des problĂšmes conjugaux. Il y a la femme qui a formĂ© son couple trĂšs jeune et qui, vers l'Ăąge de 30 ans, mieux dĂ©finie, plus assurĂ©e, davantage en mesure d'identifier ce qu'elle attend de l'amour, remet sa relation en rencontre aussi beaucoup de femmes ou de couples qui comptent de nombreuses annĂ©es de conflits... Ă©vitĂ©s On voit venir le conflit de loin. On sait qu'on va se fĂącher. Alors, on Ă©vite d'en parler, en espĂ©rant que la tension passe. Mais elle nous rattrape toujours.»Mentionnons encore le dĂ©sĂ©quilibre d'un contrat tacite, souscrit - consciemment ou non - en dĂ©but de relation. C'est le cĂŽtĂ© bon vivant et dĂ©tendu de Carl qui m'a attirĂ©e vers lui, raconte Mireille, 29 ans. Moi qui suis de nature hyper-responsable et nerveuse, ce relĂąchement m'apaisait beaucoup. Mais, lorsque nous avons emmĂ©nagĂ© ensemble, j'en ai souffert. Je me suis soudainement sentie l'adulte avec un enfant. Heureusement, nous avons rĂ©ussi Ă  nous repositionner grĂące Ă  de longues discussions, de la patience et beaucoup de travail sur soi!»Le cas est typique, estime Élise Castonguay. Il arrive souvent que les caractĂ©ristiques qui nous attiraient au dĂ©part chez l'autre deviennent des sources de conflit avec le temps. Il faut alors se demander si l'autre est prĂȘt Ă  rĂ©viser les clauses de notre contrat tacite. S'il n'y met pas du sien, s'il n'est pas prĂȘt Ă  se mobiliser, la tentative est vouĂ©e Ă  l'Ă©chec.»Bref, mĂȘme si un Ă©vĂ©nement ponctuel cohabitation, changement de carriĂšre, nouvel bĂ©bĂ©, infidĂ©litĂ© peut agir comme catalyseur, la remise en question d'un couple arrive rarement sur un coup de tĂȘte, mais rĂ©sulte plutĂŽt d'une lente accumulation de griefs et de frustrations... Cela ne la rend pas moins difficile Ă  le malaiseEn effet, aux prises avec ce questionnement dĂ©chirant, il est normal qu'on soit envahie par toutes sortes d'Ă©motions, bien souvent contradictoires. Michel Lemieux, prĂ©sident de l'Association des psychothĂ©rapeutes conjugaux et familiaux du QuĂ©bec, mentionne la dĂ©ception, la peine, la colĂšre, mais parle surtout d'ambivalence, particuliĂšrement quand la relation est au soulagement qu'on imagine Ă  l'idĂ©e de pouvoir enfin penser Ă  nos besoins, on peut alors se sentir mĂ©chante de partir, traĂźtre dans notre engagement Ă  l'autre, indique-t-il. Et peut-ĂȘtre aussi ressentir de la culpabilitĂ© envers les enfants et de la pitiĂ© pour le conjoint qu'on laisse "Je ne peux pas lui faire ça, il a Ă©tĂ© si bon avec moi". Cette ambivalence risque d'ĂȘtre trĂšs forte dans le cas d'une femme qui a toujours Ă©tĂ© trĂšs centrĂ©e sur le bien-ĂȘtre des autres, puisqu'elle trouvera incorrect d'agir pour elle-mĂȘme. Mais il faut qu'elle ait confiance en son dĂ©sir de mieux-ĂȘtre et qu'elle relativise l'effet de sa dĂ©cision sur son environnement.»À bien des Ă©gards, cette remise en question du couple s'apparente, du point de vue Ă©motif, Ă  un processus de deuil. Le deuil de la famille unie, par exemple, explique Élise Castonguay, mĂȘme si bien souvent, lorsqu'une sĂ©paration survient, il y a dĂ©jĂ  un moment qu'elle ne l'est plus vraiment. Le deuil d'un rĂ©seau social et d'une belle-famille, aussi.»Autre Ă©motion frĂ©quente l'angoisse d'abandon, c'est-Ă -dire la peur de se retrouver seule, souligne le psychologue Marc Doucet. MĂȘme l'estime de soi peut ĂȘtre touchĂ©e Ă  la longue, vivre une relation nĂ©gative et dĂ©valorisante porte atteinte Ă  notre estime personnelle, et la dĂ©cision de partir peut, dans certains cas, ĂȘtre entravĂ©e par ce manque de facteurs concrets ou extĂ©rieurs encore peuvent perturber notre rĂ©flexion. Par exemple, la peur des complications financiĂšres peut nous empĂȘcher de bouger. À l'inverse, l'excitation due Ă  une relation extraconjugale pourrait aussi, par son aspect tout nouveau tout beau, nous faire agir sur un coup de alors, sur quel sentiment peut-on se fier pour prendre la bonne dĂ©cision? Sur la paix d'esprit, peut-ĂȘtre, qu'on ressent Ă  l'idĂ©e de sortir ou pas de la relation. Ou sur notre espoir, notre confiance en la possibilitĂ© de voir renaĂźtre le sentiment amoureux dans notre couple. En gĂ©nĂ©ral, on nous dira d'Ă©couter notre petite voix intĂ©rieure et les signaux que nous envoie notre corps. Mais, plus souvent qu'autrement, les indications que nous donnent ces baromĂštres changent d'un jour Ă  l'autre. Est-ce que je fuis en partant trop vite? Est-ce que je me protĂšge d'une blessure potentielle? Et si je reste, est-ce que c'est parce qu'il y a de l'espoir ou par peur d'ĂȘtre seule?» Ouf!Pour s'Ă©pargner des maux de tĂȘte, Élise Castonguay suggĂšre de faire la liste des avantages et des dĂ©savantages de la relation, en incluant autant le pragmatique comme le confort financier et l'Ă©motif comme le bien-ĂȘtre que la vie sexuelle. Il est sans doute Ă©galement bon de repenser au modĂšle de couple parental que nous avons eu pour dĂ©terminer comment il a pu nous influencer. Si on a vu notre mĂšre se faire abuser par son mari, par exemple, il est possible qu'on reprenne ce pattern-lĂ , dit Marc Doucet. On reste marquĂ© par ces empreintes originelles, mais on peut, par contre, apprendre Ă  les reconnaĂźtre et les corriger.»ConcrĂštement, pour peser le pour et le contre, dĂ©mĂȘler les faits des Ă©motions et mieux s'entendre, on recommande de prendre du temps en solitaire, que ce soit quelques heures volĂ©es en fin de soirĂ©e ou un week-end passĂ© seule Ă  la campagne ou chez une bonne copine. Si la dĂ©cision reste difficile Ă  prendre, on pourra envisager une pause et un dĂ©mĂ©nagement pour ĂȘtre vraiment utiles, ces gestes doivent ĂȘtre planifiĂ©s sĂ©rieusement, notamment en se fixant des objectifs et un temps prĂ©cis sur ce dernier point, les avis divergent, mais il semble deux semaines ne soient pas assez en plus de dĂ©terminer s'il est acceptable ou non d'aller voir ailleurs pendant la cette pĂ©riode de rĂ©flexion, il est important d'abord de ne pas cĂ©der Ă  l'angoisse d'abandon si on s'ennuie de notre conjoint, ça ne veut pas nĂ©cessairement dire qu'on l'aime encore, mais aussi d'aller en profondeur et de se poser quelques questions fondamentales Qu'est-ce qui m'appartient dans les difficultĂ©s que nous vivons et inversement? Suis-je prĂȘte Ă  travailler pour rendre ma relation plus Ă©panouissante? Avons-nous encore des buts communs? À quel point dois-je devenir quelqu'un d'autre pour que ma relation marche? Et surtout, insiste Michel Lemieux, on n'Ă©value pas le passĂ©, mais les possibilitĂ©s d'amĂ©lioration de notre vie Ă  deux.»Pour dĂ©mĂȘler tout ce fatras, on peut se confier Ă  une amie. Il est bon de se confier Ă  une personne de confiance, qui nous connaĂźt bien, mais qui n'est pas membre de notre famille ni de celle de notre conjoint. Parce qu'eux pourraient nous donner un avis biaisé», estime Michel Lemieux. Une thĂ©rapie conjugale ou individuelle, si le conjoint refuse d'y aller est Ă©galement possible et fortement conseillĂ©e. De l'avis de Sheryl Gaudet, cette consultation peut nous apprendre Ă  travailler notre façon de communiquer pour dĂ©nouer les incomprĂ©hensions et sortir des cercles vicieux».Chacun est appelĂ©, Ă  un moment dans sa vie de couple, Ă  douter de sa relation, estime Michel Lemieux. C'est inĂ©vitable. Vous ne pouvez pas Ă©viter le conflit. Au contraire, plus vous allez l'Ă©viter, plus vous allez le nourrir.» Cela dit, si difficiles soient-elles, c'est souvent grĂące aux remises en question et aux crises que les tensions se rĂ©vĂšlent au grand jour et finissent par pour se rĂ©soudre. D'une maniĂšre ou d'une autre.Dans le contexte d'une Ă©ventuelle sĂ©paration, on se dit les vraies affaires, constate Marc Doucet. C'est parfois sous la menace de rupture que l'autre se met Ă  bouger. La crise crĂ©e un espace relationnel oĂč il est possible de travailler.» Une fois la crise traversĂ©e, si le couple dĂ©cide de rester ensemble, le travail n'est pas terminĂ©. Souvent, les couples se disent de belles choses, mais ni l'un ni l'autre ne passe Ă  l'action pour modifier son mode de fonctionnement, constate Michel Lemieux. Ce qu'il faut Ă©valuer, ce n'est pas l'intention, mais l'action. En fin de compte, l'harmonie dans un couple, ce n'est pas l'absence de conflit, mais l'habiletĂ© des conjoints Ă  rĂ©soudre les conflits de façon satisfaisante pour les deux.»Et les enfants?Est-ce une bonne idĂ©e de rester pour les enfants? Non, estiment la plupart des spĂ©cialistes interviewĂ©s. Évidemment, le divorce n'est pas la meilleure chose Ă  faire vivre Ă  nos enfants, rĂ©pond d'emblĂ©e la psychothĂ©rapeute conjugale, Sheryl Gaudet. Mais ça ne veut pas dire qu'il faille sacrifier son avenir quand on est malheureuse.» Ainsi, avoir le courage de leur dire, de façon sĂ©rieuse, qu'on ne s'entend plus est mieux que de les laisser dans un milieu familial insatisfaisant. MĂȘme s'il n'y a pas de disputes devant l'enfant, il sentira les tensions. Les petits sont de vraies Ă©ponges Ă  Ă©motions, insiste Élise Castonguay. Un enfant va bien lorsque son parent va bien.» En se permettant d'ĂȘtre heureux, donc, en amĂ©liorant notre relation ou en prenant la dĂ©cision de partir, on donne un bon exemple Ă  notre dĂ©cision bien mĂ»reDolorĂšs, 46 ans, deux enfantsJ'ai pris la dĂ©cision de quitter mon mari lorsque j'ai commencĂ© Ă  ĂȘtre sĂ©rieusement attirĂ©e par d'autres hommes. En rĂ©alitĂ©, c'est une accumulation d'insatisfactions qui m'avait menĂ©e Ă  ce point de non-retour. Avec ma quarantaine et le bilan de vie qu'entraĂźne ce passage, je me suis dĂ©cidĂ©e Ă  divorcer, aprĂšs 20 ans de vie commune. Je ne l'ai pas fait sur un coup de tĂȘte, la dĂ©cision a mĂ»ri en moi pendant au moins deux ans avant que j'agisse. J'ai longtemps hĂ©sitĂ© par crainte de ne pas m'en sortir seule financiĂšrement. Aussi et surtout Ă  cause des enfants qui avaient 7 et 15 ans, Ă  l'Ă©poque; je craignais qu'un divorce ne les traumatise. J'ai Ă©tĂ© trĂšs dĂ©primĂ©e pendant toute ma pĂ©riode de doute, mais un moment est venu oĂč il m'est apparu Ă©vident que je ne pouvais pas finir mes jours avec cet homme. C'Ă©tait devenu invivable. On ne se respectait plus du tout et on ne partageait plus rien. Avec le recul, j'ai rĂ©alisĂ© qu'au moment de notre mariage je n'Ă©tais pas assez amoureuse de lui, mais je n'osais pas reculer... AprĂšs le divorce, ma fille m'a confiĂ© qu'elle prĂ©fĂ©rait la situation ainsi et mon fils, trĂšs introverti, a commencĂ© Ă  s'Ă©panouir. Moi, j'ai tout de suite retrouvĂ© ma paix et ma joie de vivre. Je crois toutefois qu'il aurait mieux valu qu'on se quitte plus tĂŽt, quand il y avait encore un lien affectif et moins de rancoeur entre nous.»Un soulagementSuzanne, 35 ans, deux enfantsLa dĂ©cision de quitter mon mari tournait depuis un moment dans ma tĂȘte, sans que je puisse l'exprimer. À un moment donnĂ©, je l'ai dit - Ouf! Enfin! - et ce fut un grand soulagement. Je me souviendrai toujours de ce moment-lĂ . Nous avons parlĂ© trĂšs longuement, comme nous ne l'avions jamais fait auparavant, et je lui ai avouĂ© que je n'avais plus de sentiments pour lui et que j'Ă©tais incapable de continuer Ă  vivre avec nos nombreuses disputes et ce mal-ĂȘtre qui m'envahissait. Oui, j'avais Ă©tĂ© amoureuse, mais peu Ă  peu, aprĂšs la naissance de nos enfants surtout, je n'avais plus eu l'impression d'ĂȘtre une femme Ă  ses yeux. Je ne me sentais plus respectĂ©e, il n'avait plus de tendresse Ă  mon Ă©gard et plus de reconnaissance pour tout ce que je faisais dans la maison et pour les enfants. Il a Ă©tĂ© trĂšs surpris lorsque je lui ai confiĂ© mon intention de le quitter. Il ne savait pas Ă  quel point je souffrais parce que j'en parlais peu. Il m'a Ă©coutĂ©e, mais sans jamais prendre sa part de responsabilitĂ© dans ce que nous Ă©tions devenus aprĂšs 13 ans de vie commune. S'il avait voulu aller chercher de l'aide, j'aurais sans doute reconsidĂ©rĂ© ma dĂ©cision...»RĂ©concilier les diffĂ©rencesGeneviĂšve, 36 ans, deux enfantsLorsque je me suis installĂ©e avec Christian, aprĂšs un an de frĂ©quentations, j'Ă©tais sĂ»re de mon coup. Bien que nous n'ayons pas les mĂȘmes goĂ»ts en matiĂšre de loisirs, par exemple, je le trouvais responsable, fiable et j'Ă©tais bien avec lui. Il y a sept ans, j'ai fait une dĂ©pression et, en psychothĂ©rapie, j'ai pris conscience que je ressentais un manque dans ma vie amoureuse. Notre peu de points communs commençait Ă  me peser, mais j'hĂ©sitais Ă  m'en plaindre parce que Christian est le bon gars typique gentil, bon pĂšre et, en plus, mes parents l'adorent. Est-ce que je me plaignais le ventre plein? Je l'ai convaincu d'aller en thĂ©rapie conjugale pour trouver un compromis entre son besoin sexuel, qui Ă©tait trĂšs intense, et mon besoin d'Ă©panouissement. Ça n'a pas marchĂ© comme je l'aurais souhaitĂ©, Christian n'est pas habituĂ© Ă  partager ses Ă©motions. Mais nous avons fait un effort pour respecter nos diffĂ©rences, tout en cherchant des activitĂ©s qui nous plaisent Ă  tous les deux. Pour le reste, il me respecte assez pour me laisser la latitude de voyager avec des copines, de tripper Ă  l'extĂ©rieur de la famille. Avec le temps, j'ai compris que Christian est un homme de famille et que ça me plaĂźt finalement, d'avoir ce roc contre lequel je peux m'appuyer.»Lentement mais sĂ»rementMyriam, 36 ans, enceinteAprĂšs quelques annĂ©es de relation, je me suis sentie dĂ©laissĂ©e par Bernard. Je n'avais plus l'impression d'ĂȘtre aimĂ©e, et il me semblait que nos diffĂ©rences nous Ă©loignaient de plus en plus. Je suis Ă©motive et prĂšs de ma famille. Il est plutĂŽt solitaire, rationnel et jaloux de sa libertĂ©. À un moment, les difficultĂ©s se sont enchaĂźnĂ©es j'ai eu une aventure, nous chialions beaucoup l'un contre l'autre, puis ce fut Ă  son tour d'Ă©prouver des sentiments, bien Ă©phĂ©mĂšres, pour une autre femme. Pour moi, ce fut le signal d'alarme aprĂšs 10 ans de relation, je l'ai quittĂ© pour de bon. Du moins, c'est ce que je croyais. Au dĂ©part, j'Ă©tais anĂ©antie. Mais cette rupture a finalement Ă©tĂ© trĂšs fĂ©conde pour moi. Je me suis recentrĂ©e et j'ai rĂ©alisĂ© que j'attendais beaucoup du couple, mais que je ne me donnais pas d'espace pour faire mes choses. Tout doucement, nous sommes redevenus amis, puis amoureux. Tous deux, nous dĂ©sirions plus de respect entre nous. Nous avons aussi commencĂ© Ă  planifier des projets ensemble faire du vĂ©lo, de la plongĂ©e, du ski de fond. Puis, acheter une maison, avoir un enfant. Notre relation s'est amĂ©liorĂ©e lentement, mais sĂ»rement et je suis satisfaite. Nous partageons plus de choses aujourd'hui. Notre histoire a bien tournĂ©.» RecommandĂ© Parlez-vous le mĂȘme langage amoureux que votre conjointe? Par Nathalie Vallerand Les cĂąlins et les mots doux, on n’en a jamais assez. Mais voilĂ , l’ĂȘtre aimĂ© n’est pas portĂ© sur ces choses-lĂ  et ça nous frustre. Et si c’était sa façon d’exprimer son amour qui est difficile Ă  comprendre? Il arrive en effet que les partenaires ne parlent pas le mĂȘme langage amoureux. Lire la suite Pour rĂ©ussir l’épreuve pratique du permis dĂšs la premiĂšre tentative, il est nĂ©cessaire de rĂ©aliser une bonne prĂ©paration. Voici quelques conseils Ă  suivre afin d’adopter de bons pratique du permis de conduire est difficile Ă  obtenir lors du premier passage. 59 % des candidats seulement le rĂ©ussissent du premier coup, ce qui signifie qu’environ 1 Ă©lĂšve sur 2 Ă©choue et doit le une Ă©preuve exigeante et longue 32 minutes, 25 minutes de conduite effective qui demande de l’énergie et des compĂ©tences thĂ©oriques et pratiques importantes. Si une bonne prĂ©paration et formation sont essentielles pour rĂ©ussir, il est certain qu’il faut ĂȘtre prĂȘt et en forme le jour J. Le candidat doit rester concentrĂ© sur une durĂ©e consĂ©quente et penser Ă  un grand nombre d’élĂ©ments sa conduite, les contrĂŽles visuels directs et indirects, les consignes et/ou conseils de l’inspecteur
Pour mettre toutes les chances de son cĂŽtĂ©, voici certains conseils et astuces Ă  suivre pour l’obtenir du premier coup !Une fois les 20 heures minimums de conduite effectuĂ©es, l’attente de la place d’examen peut ĂȘtre longue. La plupart des candidats attendent 2 mois avant d’obtenir une date alors qu’ils se considĂšrent dĂ©jĂ  prĂȘts. Les candidats peuvent ainsi perdre patience et stresser. S’il est normal de ressentir de l’apprĂ©hension, le stress reste un des principaux facteurs d’échec. Il est ainsi recommandĂ© de prendre 1 Ă  2 sĂ©ances de conduite quelques jours avant la date du sĂ©ances prĂ©paratoires comportent plusieurs avantages. Elles permettent au candidat de conduire avant l’épreuve pour reprendre les automatismes de conduite, de faire le point avec le moniteur en lui posant des questions et en Ă©coutant ses derniers conseils, de travailler les lacunes et de repĂ©rer les parcours possibles de l’ ces sĂ©ances permettent de rĂ©viser l’installation au poste de conduite, les questions de vĂ©rifications intĂ©rieures et extĂ©rieures et celles relatives aux premiers secours qui sont des Ă©lĂ©ments qui permettent de gagner 5 points est lĂ  pour Ă©valuer mais aussi pour guider le candidat. Il donne des instructions simples que celui-ci doit suivre. Avec le stress, il est possible que le candidat comprenne mal les instructions. Ainsi, ce dernier doit demander Ă  l’examinateur de lui rĂ©pĂ©ter sa consigne. Cela n’est pas considĂ©rĂ© une faute. Il est donc prĂ©fĂ©rable de lui demander de rĂ©pĂ©ter plutĂŽt que de commettre une passer l’examen pratique du permis signifie montrer que l’on peut conduire en toute autonomie mais cela n’empĂȘche pas de faire rĂ©pĂ©ter des instructions si elles ont Ă©tĂ© mal l’épreuve comprend 5 Ă  10 minutes de trajet en autonomie. Pendant cette phase, le candidat doit se rendre dans un lieu ou suivre un itinĂ©raire dĂ©fini par l’examinateur qui ne doit pas intervenir pendant toute la durĂ©e de la conduite en autonomie. On comprend donc bien que ce n’est pas le moment de lui poser des pratique est relativement longue et exigeante. Il est donc trĂšs rare que les candidats fassent un parcours parfait, sans jamais commettre la moindre erreur. C’est d’ailleurs pour cela qu’il faut 20 points minimum sur les 31 points pour obtenir son permis de conduire sans erreur Ă©liminatoire. Les compĂ©tences sont notĂ©es sur 3 points sauf l’installation qui est notĂ©e sur 2 points, et le candidat commettra sĂ»rement des imprĂ©cisions et mĂȘmes des erreurs qui lui empĂȘcheront d’avoir tous les points dans tous les l’examinateur fait une remarque ou si le candidat commet une erreur non Ă©liminatoire, il doit absolument rester concentrĂ© pour ne pas rĂ©pĂ©ter les mĂȘmes erreurs et montrer au contraire Ă  l’examinateur qu’il peut se ressaisir. L’examinateur peut intervenir verbalement pour tester le candidat qui doit montrer qu’il peut prendre en compte ses remarques et les mettre en 1 candidat sur 2 devra repasser son permis de conduire aprĂšs son Ă©chec au premier passage. Il ne faut pas ĂȘtre abattu aprĂšs cet Ă©chec et rester positif. Par exemple, en cas de faute Ă©liminatoire qui a forcĂ© l’examinateur Ă  intervenir, il vaut mieux se dire qu’un accident a Ă©tĂ© Ă©vitĂ© plutĂŽt que de mettre en cause l’ensemble de ses acquis. En cas d’échec sans faute Ă©liminatoire, le candidat doit faire le bilan et apprendre de ses erreurs. Il sera aidĂ© en cela par le bilan prĂ©cis de sa prestation dĂ©taillant tous les points obtenus transmis par voie postale dans un dĂ©lai de 2 jours aprĂšs l’épreuve.Le candidat aura d’autres possibilitĂ©s de passer son examen et il doit se concentrer sur cet objectif malgrĂ© la dĂ©ception. Il peut continuer avec son auto-Ă©cole, s’inscrire en candidat libre ou choisir la conduite supervisĂ©e s’il considĂšre qu’il a besoin d’accumuler plus d’expĂ©rience de conduite avant de se prĂ©senter Ă  nouveau. Photo Eddy Metais - Klampenborg, Plage de Bellevue Carine Flutte, psychologue, nous fournit ses Ă©lĂ©ments de rĂ©flexion pour aborder la gestion de cette crise le plus sereinement possible. Le coronavirus ou covid19 est LE sujet de prĂ©occupation du moment. Difficile, face au flot d’informations et aux mesures drastiques, de ne pas ĂȘtre gagnĂ© par l’anxiĂ©tĂ©. Je vous partage des conseils pour mieux gĂ©rer votre stress et votre anxiĂ©tĂ© afin de rester le plus zen possible. J’aborderai dans un premier temps ce que vous pouvez ressentir puis dans un second temps, je vous donne dix conseils pour faire face Ă  l’anxiĂ©tĂ© que peut gĂ©nĂ©rer cette situation inĂ©dite. Tout comme le virus, l’anxiĂ©tĂ© fonctionne par contagion. Avez-vous rĂ©ussi Ă  identifier ce que vous ressentiez ? Je vous propose quelques exemples de sentiments qui peuvent vous traverser, la liste n’est pas exhaustive. La colĂšre si vous pensez avoir Ă©tĂ© exposĂ© Ă  la maladie par la nĂ©gligence des autres. La rĂ©volte pourquoi ne comprennent-ils pas qu’il faut rester chez soi ? La frustration de ne pas pouvoir faire ce que vous avez envie de faire. La libertĂ© nous semble quelque chose d’acquis et pourtant elle est remise en question. L’incertitude face Ă  l’avenir. L’inquiĂ©tude de ne pas pouvoir vous occuper correctement de vos enfants. Encore plus pour ceux qui sont en tĂ©lĂ©travail et qui doivent gĂ©rer ces deux aspects-lĂ  sans en avoir l’habitude. L’anxiĂ©tĂ© bien sĂ»r La peur il peut y en avoir plusieurs. La peur d’ĂȘtre de mourir, de ne pas revoir ses proches. La peur de l’autre, de l’inconnu, de perdre le contrĂŽle. Tout ceci, peut amener Ă  un sentiment d’impuissance que pouvez-vous faire Ă  tout ça ? A cĂŽtĂ© de ça, il y a des personnes qui semblent vivre un dĂ©ni de la situation, comme l’impossibilitĂ© d’intĂ©grer qu’il y a un danger, peut-ĂȘtre encore trop invisible. Il leur faut davantage de temps. Peut-ĂȘtre ressentez-vous plusieurs de ces sentiments ou une certaine ambivalence face Ă  ces mesures plutĂŽt drastiques. Pensez aussi que vos dĂ©fenses immunitaires diminuent lorsque vous ressentez du stress et de la peur. Voici donc des conseils pour rĂ©duire ces derniers. Les 10 conseils pour rĂ©duire votre anxiĂ©tĂ© 1 – Se tenir loin des mĂ©dias. Le flot incessant d’informations qui vous arrive favorise un Ă©tat de stress et d’anxiĂ©tĂ© et majore les peurs. De ce fait, se tenir de la situation une Ă  deux fois par jour, auprĂšs d’une source fiable, est largement suffisant. Voici un site oĂč vous pourrez trouver des ressources fiables sur le coronavirus. 2 – Garder le contrĂŽle de vos pensĂ©es. En prenant de la distance avec ce qui se passe, en gardant l’esprit critique par exemple, je suis en bonne santĂ©, je fais tout ce qu’il faut pour ne pas me faire contaminer, sans tomber dans l’anxiĂ©tĂ© collective. Il est vrai que les pensĂ©es difficiles peuvent ĂȘtre envahissantes, alors, si vous prĂ©voyez un laps de temps pour vous inquiĂ©ter ? Ainsi, quand vous voyez que vous commencez Ă  avoir des pensĂ©es inquiĂ©tantes, dites-vous que vous pourrez y penser lors du temps que vous rĂ©servez Ă  ça. DĂ©finissez quand et combien de temps que cela doit durer 10-20 min, Ă©vitez de le faire en soirĂ©e. 3 – Etablissez une routine. Que vous essayez de respecter au maximum savoir que vous avez un planning prĂ© Ă©tabli aide Ă  structurer la journĂ©e et Ă©vite que vous restiez au fond du lit en stressant Ă  fond. D’ailleurs, le temps dĂ©fini pour vous inquiĂ©ter peut ĂȘtre intĂ©grĂ© Ă  cette routine. 4 – Prenez le temps de savoir comment vont les personnes qui vous sont chĂšres. Les savoir en sĂ©curitĂ© et en bonne santĂ© rĂ©duit votre stress. 5 – Le contact social est important. Que ce soit par message, visio ou tĂ©lĂ©phone, garder le lien avec votre famille, vos amis ! PrivilĂ©giez les sujets de conversation autres que celui qui vous prĂ©occupe actuellement. Il en existe plein d’autres. 6 – Prenez le temps de savoir ce que vous ressentez. Prenez le temps de savoir ce que votre et vos enfants ressentent. Discutez-en ensemble, posez ce qui doit ĂȘtre posĂ©, accueillez les Ă©motions de chacun, elles sont toutes lĂ©gitimes. N’hĂ©sitez pas Ă  le faire de façon rĂ©guliĂšre. Vous pouvez Ă©galement profiter de ce temps de parole pour dĂ©finir ce que chacun doit faire au cours de la journĂ©e. 7 – Faites de l’exercice rĂ©guliĂšrement. Etirez-vous, respirez profondĂ©ment, il est possible de faire du sport mĂȘme chez vous et l’endorphine libĂ©rĂ©e lors de ces exercices contribue Ă  diminuer le stress. 8 – AmĂ©nagez-vous du temps pour vous. Dans la mesure du possible. DĂ©finissez quand il peut avoir lieu et ce que vous souhaitez faire durant ce moment-lĂ  mĂ©ditation, techniques de relaxation, sophrologie, lecture, ce que vous voulez et qui est important pour vous. 9 – PrivilĂ©giez ce que vous ne pouvez pas faire habituellement et voyez l’opportunitĂ© qui vous est donnĂ©e de grandir intĂ©rieurement. Prenez le temps de vivre Ă  un autre rythme, de vous poser davantage, de remarquer les petits dĂ©tails que vous n’avez pas l’occasion de voir dans les comportements de vos enfants, lisez, mĂ©ditez, regarder un bon film mais n’abusez pas des Ă©crans, riez beaucoup savez-vous que vous pouvez rire sur commande avec un peu d’entraĂźnement et que cela peut faire autant de bien qu’un rire spontanĂ© ?, faites des activitĂ©s qui vous plaisent, lĂącher sur ce qui est secondaire et peut-ĂȘtre prenez le temps de vous interroger sur ce que vous vivez. 10 – Soyez indulgent avec vous-mĂȘme. Dernier conseil, mais pas le moindre soyez indulgent avec vous-mĂȘme et patient ! Personne ne peut s’adapter Ă  une nouvelle situation d’un claquement de doigt, cela demande un certain temps. A tous, je vous souhaite beaucoup de courage pour traverser ces moments difficiles. Une pensĂ©e particuliĂšre pour les parents qui doivent tĂ©lĂ©-travailler et s’occuper de leurs enfants en mĂȘme temps, j’en fais partie, je sais ce n’est pas Ă©vident tous les jours ! Une pensĂ©e plus particuliĂšre aussi pour les personnes qui ne sont pas en sĂ©curitĂ© chez elles que ce soit les enfants ou les adultes. Vous trouverez des ressources ici pour les femmes victimes de violence conjugale Sachez enfin qu’il est possible de prendre contact avec moi si vous avez des difficultĂ©s Ă  gĂ©rer votre anxiĂ©tĂ©. J’ai toujours proposĂ© des accompagnements Ă  distance, ils sont encore plus d’actualitĂ© dans le contexte de cette Ă©pidĂ©mie. Carine Flutte est Psychologue et propose des consultations en ligne. AprĂšs avoir travaillĂ© pendant 8 ans Ă  l’hĂŽpital en France, elle s’expatrie en Ecosse oĂč elle rĂ©side depuis 7 ans. Elle accompagne notamment les futurs parents dans leur dĂ©sir d’enfant et les soutient pendant la grossesse et dans leurs premiers pas vers une parentalitĂ© Ă©panouie et positive. Annonce Votre navigateur ne supporte pas la balise HTML5 video. La puissance de la pensĂ©e positive Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes rĂ©sulte de nos pensĂ©es. Avec nos pensĂ©es, nous bĂątissons notre monde » Bouddha Maintenant que l’on a supprimĂ© le nĂ©gatif entrant », on va pouvoir commencer Ă  augmenter petit Ă  petit le positif entrant. Au dĂ©but, beaucoup d’entre nous doivent se forcer. On est mal, on ne voit rien de positif, et on voit difficilement comment on pourrait l’ĂȘtre. Les personnes dĂ©bordantes de positivitĂ© nous dĂ©goĂ»teraient presque
 Annonce On se dit qu’on ne pourrait jamais ĂȘtre comme ça
 mais c’est faux. Il suffit de s’entraĂźner. Et comme pour chaque entraĂźnement, au dĂ©but il faut se forcer. Se motiver, rester discipliner, et ce mĂȘme et surtout si on ne voit pas encore les bienfaits. La positivitĂ©, c’est un peu comme planter des graines. Semez-en le plus possible une graine= une pensĂ©e positive, et vous rĂ©colterez les fruits plus tard. Mais vous rĂ©colterez seulement si vous arrosez votre positivitĂ© souvent et suffisamment 😉 5 exercices pour ĂȘtre plus positif 1 – Prendre conscience de sa nĂ©gativitĂ© Comme je vous l’ai dit, la nĂ©gativitĂ© vient soit de l’extĂ©rieur, soit de nous-mĂȘme. Nous devons donc apprendre dans un premier temps Ă  l’identifier. Chaque fois que l’on se surprend Ă  ĂȘtre nĂ©gatif, Ă  se plaindre, Ă  faire la victime, Ă  avoir peur, on peut se dire Ok lĂ  je viens d’ĂȘtre nĂ©gatif. Je sais que cela ne m’aide pas du tout. Au contraire, je sais maintenant qu’ĂȘtre nĂ©gatif empire la situation. Comment je pourrais faire pour ĂȘtre plus positif lĂ  tout de suite? » 2 – Accepter votre nĂ©gativitĂ©, puis essayez de la transformer en positif Donc vous venez d’identifier une pensĂ©e nĂ©gative. Vous ne la repoussez pas, vous l’acceptez, mais vous prenez tout de suite la dĂ©cision de chercher du positif. L’objectif Ă©tant de remplacer une pensĂ©e nĂ©gative en pensĂ©e positive. Exemple Vous vous levez et vous voyez qu’il une pensĂ©e nĂ©gative arrive Trop nul, il pleut, ça va encore ĂȘtre une journĂ©e de 
 » ARRÊTEZ Vous venez de prendre conscience de la nĂ©gativitĂ©, et vous cherchez tout de suite Ă  la remplacer par du positif Ok lĂ  j’étais en train d’ĂȘtre nĂ©gatif
 le positif c’est quoi ici? hum
les paysans vont ĂȘtre contents, leurs salades vont ĂȘtre arrosĂ©es. Ou 
il pleut, ok, je me sens d’autant plus chanceux d’avoir un toit
 » Vous voyez le principe? Être nĂ©gatif, ce n’est pas dramatique, tant que vous faĂźtes l’effort d’essayer de changer ça. Au bout d’un mois, vous saurez quels sont les moments oĂč la nĂ©gativitĂ© est susceptible de pointer le bout de son nez. Vous pourrez donc la contrer, et ĂȘtre positif avant mĂȘme qu’elle n’apparaisse. 3 – 5 choses positives en fin de journĂ©e Voici un autre exercice qui a le mĂȘme objectif vous apprendre Ă  voir du positif lĂ  oĂč vous n’en voyiez pas avant. À la fin de chaque journĂ©e, notez sur un carnet 5 choses positives qui vous sont arrivĂ©es pendant la journĂ©e. Si vous n’y arrivez pas, continuez quand mĂȘme l’exercice. Forcez-vous. Annonce C’est le temps passĂ© Ă  faire la recherche qui compte. MĂȘme si vous ne trouvez rien, continuez. Car aujourd’hui vous ne trouverez peut-ĂȘtre qu’une chose positive
 mais plus vous ferez cet exercice, et plus vous en trouverez. Car le positif est tout autour de nous, on ne sait juste plus le voir. 4 – RepĂ©rer ce qu’il y a de positif tout au long de la journĂ©e Si vous voulez progresser encore plus vite, vous pouvez faire cet exercice tout au long de la journĂ©e. À chaque fois que vous identifiez du positif, notez-le. Et Ă  chaque fois que vous vous prenez en flagrant dĂ©lit de nĂ©gativitĂ©, notez-le, et essayez de remplacer tout de suite le nĂ©gatif par quelque chose de positif. Par exemple je suis dĂ©primĂ© » deviendrait j’ai un petit coup de mou, peut-ĂȘtre mais je vais mieux, je fais tout ce qu’il faut pour cela. Je prends soin de moi, je travaille ma positivitĂ©, cela va bientĂŽt payer. » Apprenez Ă  repĂ©rer la positivitĂ© dans les plus petites choses un sourire, une parole, un oiseau, un enfant, manger un fruit
 pour vous aider dans cette dĂ©marche, je vous conseille fortement La sĂ©rĂ©nitĂ© de l’instant prĂ©sent » de Thich Nhat Hanh et tous ses autres livres d’ailleurs. 5 – Se nourrir de pensĂ©es positives La positivitĂ© est un cercle vertueux. Plus vous ĂȘtes positif
 et plus vous ĂȘtes positif. Plus vous apprenez Ă  voir du positif, et plus vous en voyez. Plus vous nourrissez votre esprit de positif, et plus cette mĂȘme positivitĂ© resurgit ensuite dans vos pensĂ©es. Un conseil gardez toujours une source de positif Ă  portĂ©e de main un livre, un recueil de citations, un poĂšme
 En cadeau, voici mes principales sources de positif 🙂 Image crĂ©dit Pixabay Source gu Annonce Voir plus Article prĂ©cĂ©dent Mon fils 
Vivre dans ce monde et en voir la beautĂ© n’est pas si compliquĂ© pour toi Article suivant PENSER POSITIF? IMPOSSIBLE J’AI QUE DU NÉGATIF EN TÊTE
 » J'aime la spiritualitĂ© mais je suis surtout spĂ©cialisĂ©e en numĂ©rologie depuis bientĂŽt 10 ans. Tout comme le cĂ©lĂšbre philosophe, mathĂ©maticien et astrologue Pythagore, je pense que toutes les choses peuvent ĂȘtre exprimĂ©es par un sous-estimons pas le pouvoir des nombres, ils peuvent rĂ©vĂ©ler des informations essentielles sur notre avenir .

comment rester positif quand tout va mal